La loi vaudoise sur la protection de la nature et du paysage accorde aux organisations environnementales un droit de recours. Ce droit n’est utilisé par les associations qu’en dernier recours et de manière très parcimonieuse. Il permet dans 80% des cas, une amélioration du projet ou l’évitement d’un projet illégal. Néanmoins, ce droit est fréquemment remis en question.