Le réchauffement climatique contraint les acteurs touristiques vaudois à s’adapter. D’une part les stations préalpines développent l’enneigement artificiel et d’autre part les (nouvelles) activités estivales sont en plein essor. L’impact du tourisme sur la nature – également celui des activités considérées comme du tourisme doux – est important. Le développement des infrastructures et la création de nouveaux itinéraires entrainent la destruction et la fragmentation des milieux naturels. L’augmentation du nombre de visiteurs dans les zones (semi-) naturelles entraine des dérangements à la faune et les infrastructures touristiques sont gourmandes en énergie et en eau. Afin de limiter l’impact du tourisme sur la nature, les activités devraient être concentrées dans des pôles touristiques et les aspects écologiques et environnementaux mieux pris en compte.